Prix de l'essence : jusqu'en Turquie, c'était assez ouf de voir que les prix des carburants étaient souvent similaires à ceux de France, alors que les niveaux de vie sont bien plus bas. Depuis la Géorgie, cela va mieux, nous retrouvons le litre à 30 ou 40 centimes d'euros. De même au Kazakhstan, ce n'est pas si cher, environ 50 centimes d’euros. Avoir son visa : voilà un nouveau point qui est arrivé dans mon voyage. Cela commence avec l'Azerbaïdjan et ce n'est pas prêt de s'arrêter pour la suite. |
Visa azéri obtenu à Tbilissi, en 3 jours ouvrés, 40 dollars (environ 30 euros), pas compliqué. Je crois même qu'il est possible de prendre ce visa à la frontière, mais je n'en suis pas sûr. Le visa a une validité d'un mois mais une durée de seulement 10 jours, je m'en aperçois après. Il doit être possible d'en avoir un pour plus longtemps ou de prolonger le premier. Visa kazakh obtenu à Bakou, dans la journée, 40 dollars. La date d'entrée est fixée et la durée est d'un mois, classique. Une fois dans le pays, on obtient une carte d'immigration et il faut se faire enregistrer à la police d'immigration dans les 5 premiers jours, le truc relou. Ce visa touristique ne peut a priori pas être renouvelé, donc ciao au bout d'un mois, sauf si on arrive à se démerder avec des connaissances. Visa kirghize obtenu à Almaty, en 3 jours ouvrés, 40 dollars. Visa d'un mois, une seule entrée, normal quoi. Ce visa peut être renouvelé dans différentes villes du pays. Je serai peut être amené à faire cela si je n'ai pas suffisamment de temps pour traverser le pays, étant donné que mon visa a déjà commencé depuis le début du mois de février. Visa tadjik obtenu à Almaty, en une semaine, 50 dollars (ou 100 dollars pour l'avoir le jour même, ça doit dépendre du gars aussi). Visa d'un mois et qui peut être renouvelé à mon avis, je table de toutes façons là dessus. Par contre, le gars demandait une lettre de soutien, une compagnie me la faite sans problème, cool. Police : Je rencontre souvent des policiers dans le voyage, et ils vérifient toujours le passeport, ok. Mais Morisse à Almaty, jamais les papiers sur lui, et à 2 reprises j'ai été contrôlé par la police d'immigration, et de plus à 2 reprises mon passeport était dans un consulat ou une agence. Bref, je conseille d'avoir au moins une photocop' des papiers sur soi, ça évite de passer du temps au commissariat. Guide de voyage : j'étais mon propre guide, avec les gens que je rencontrais sur la route, jusqu'en Azerbaïdjan. Et j'aime bien cela, au feeling, suivant si le gars te dit d'aller à gauche ou à droite, ou s'il te dit de ne pas y aller. Pour l'Asie centrale, j'ai un guide de voyage, Lonely Planet classique, et je m'en sers. Pratique pour toutes les histoires de visas, les infos sur les passages de frontière, et pour s'instruire un peu plus sérieusement. Bref, les 2 situations sont différentes, je préfère peut-être la première, plus légère. Langues : ouais bon, j'ai été flemmard en Géorgie, d'autant plus que j'étais un peu avec des français. Pareil pour Almaty, un mois sur place et plutôt à parler français ou anglais. Mais si nous prenons la traversée du Kazakhstan, c'est là où j'ai appris du russe et du kazakh, quelques mois quoi. Bref, pour la suite, je vais être bien plus avec des locaux et là ça va rentrer dans la caboche. Mais aucun soucis, j'arrive toujours à m'en sortir, même si je ressens des fois des frustrations quand je ne peux pas comprendre des choses intéressantes ou quand je ne peux pas m'exprimer comme je le voudrais. |
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